La mémoire de la Déportation
durant la Seconde Guerre mondiale
au cimetière du Père Lachaise

© Mairie de Paris

Toi qui passes,
souviens-toi

Introduction

Napoléon achète le domaine pour y établir le cimetière de l’Est parisien, appelé communément le cimetière du Père Lachaise, ouvert en 1804, aménagé par Brongniart -architecte de la Bourse de Paris, très arboré, et loti en 97 divisions.

 Avec près de 44 hectares, le cimetière du Père Lachaise est le plus vaste et le plus ancien des parcs publics parisiens, devenu un véritable jardin-musée d’art architectural et sculptural, attirant des visiteurs du monde entier.

 Lieu cosmopolite, symbole de pluralisme politique, social, idéologique, artistique et religieux, il est aussi un lieu de mémoire, unique au monde, avec ses monuments érigés en mémoire des victimes des différents conflits nationaux et guerres mondiales, le plus grand lieu dans Paris de commémorations officielles de la mémoire nationale.

A l’aube du dimanche 28 mai 1871, 147 Communards survivants des combats les opposants à l’armée versaillaise sont fusillés devant un mur nommé depuis lors « mur des Fédérés », mur reconstruit après la Commune à l’emplacement d’une carrière où ont été inhumées les victimes.

Ce « mur des Fédérés » est localisé dans la 97ème division. (voir plan du cimetière)

Dans cette 97ème division, puis dans la 77ème division au fil des années, a été regroupé un ensemble unique au monde de monuments funéraires érigés à la mémoire des victimes du système concentrationnaire nazi.

Pour que l’on garde à jamais le prix de la Liberté,

Les criminels nazis souhaitaient qu’il ne reste aucune trace ni aucun témoin des camps.

Les survivants ont voulu très vite rendre hommage à leurs camarades décédés.

Les Associations et Amicales de déportés ont décidé d’ériger des monuments. Ce sont principalement des cénotaphes. Des urnes, refermant des cendres rapportées des camps, sont placées dans le socle ou devant la sculpture.

Les familles n’ont pas récupéré les corps puisque brûlés dans les fours crématoires ou jetés dans les fosses communes. Ces monuments funéraires offrent une sépulture aux victimes mais sont donc aussi pour les familles des tombes symboliques où elles peuvent se recueillir.

Le 1er monument inauguré en 1949 est celui à la mémoire des déportés d’Auschwitz-Birkenau.

Ces monuments conservent la mission que leur a assignée leurs concepteurs, être veilleurs de pierre, pour rappeler aux visiteurs attentifs que cela fut.

Avec ces monuments, le cimetière du Père-Lachaise est devenu, un des hauts lieux, unique, universel, à la mémoire de la déportation.

 Un appel à la vigilance

Carte des camps du IIIe Reich
© FNDIRP

Dès son arrivée au pouvoir, Hitler s’efforce d’éliminer ses opposants politiques. Sont conduits dans des camps de concentration tous ceux qui gênent par leur idéologie politique, syndicale, et/ou leur confession religieuse, en particulier juive. Ces camps seront agrandis, d’autres créés pour recevoir les opposants des pays conquis par le Reich hitlérien.

Ces déportés sont utilisés massivement et « industriellement » pour les besoins de guerre du Reich jusqu’à ce qu’ils soient anéantis par le travail. En 1942, est appliquée la « solution finale » organisée par la conférence de Wannsee : l’extermination des Juifs par des techniques de destructions massives (chambres à gaz et fours crématoires).

Himmler et l’ingénieur d’IG-Farben
© DR

Dans les camps, les déportés pour motif politique devaient coudre sur le côté gauche de leur veste, un triangle de couleur rouge, pointe vers le bas, sur lequel était inscrite une lettre capitale indiquant leur nationalité : F pour les Français par exemple. (Les Allemands n’avaient pas de lettre).

Au-dessous du triangle, était écrit le numéro matricule que les détenus devaient connaître par cœur, en allemand. Ce triangle et ce matricule devenaient leur nouvelle identité. 

En décembre 1941, le tatouage de ce numéro est testé sur des détenus soviétiques, véritable torture : une plaque, percée d’aiguilles formant les chiffres du matricule, est brutalement enfoncée dans la poitrine du déporté, puis de l’encre est apposée sur la peau incisée.

En 1942, le tatouage est pratiqué sur les détenus juifs polonais et slovaques.

Le 22 février 1943, le commandant d’Auschwitz-Birkenau, Rudolf Höss, décide de faire systématiquement tatouer ce numéro sur l’avant-bras gauche de tous les détenus, non immédiatement gazés à leur arrivée, hommes, femmes, juifs ou non, à l’exception des Allemands.

© FMD

Les camps de concentration

Quelques semaines après l’accession au pouvoir d’Hitler, les camps de concentration ouvrent : Dachau en Bavière, Oranienburg-Sachsenhausen près de Berlin, Buchenwald dans le centre de l’Allemagne, près de Weimar.

Ces camps, construits par les détenus, sont de grande taille, fortifiés de miradors, entourés de fils barbelés électrifiés, gardés par des SS Totenkopf (Têtes de Mort), secondés par des Kapos, choisis parmi les déportés très souvent de droit commun (triangle vert).

Ils ont à peu près le même agencement :

– une zone d’internement proprement dite, avec des baraquements destinés aux prisonniers.

– une place d’appel, où les détenus sont appelés et comptés, matin et soir, pendant plusieurs heures, quelque soit la météo.

– le Revier, (infirmerie terme tout relatif) où de nombreuses expériences médicales sont menées.

– le Bunker, une prison

– une zone de pendaison

– des fours crématoires pour incinérer les cadavres.

– une zone de vie pour les SS, à l’extrémité du camp, parfois à l’extérieur, avec des maisons fleuries.

Ces camps enferment d’abord les Allemands : les opposants politiques (communistes, sociaux-démocrates), les syndicalistes, les « asociaux », les homosexuels, les Droits communs. Puis les détenus des zones occupées viendront de l’Europe entière pour servir de main-d’œuvre.

A leur arrivée, les déportés sont dépouillés de leurs effets personnels, déshabillés, douchés, tondus, passés au désinfectant. Ils reçoivent un habit en toile rayée blanche et bleue, des savates en bois. Enregistrés dès leur arrivée, ils reçoivent un numéro matricule à retenir en allemand en place de leur nom et un triangle à coudre sur leur vêtement au niveau de la poitrine. Parfois, leurs portraits sont photographiés. Le triangle est de couleurs différentes pour être distingués par les SS.

L’emplacement géographique de ces camps n’a rien du hasard : ils sont installés dans des lieux isolés, mais proches des lieux de matières premières ou des usines. Les détenus vont être loués aux entreprises allemandes, d’où l’essor de multiples sous-camps, les kommandos, dépendant du camp principal. Par ex : à côté des carrières, les camps de Mauthausen, du Struthof, de Flossenbürg ; à côté des briqueteries, les camps de Neuengamme, d’Oranienburg-Sachsenhausen.

2 500 entreprises vont utiliser cette main-d’œuvre : Siemens, Krupp, Thyssen, Daimler-Benz, Bosch, Opel, BMW, Volkswagen, Bayer, etc…  IG-Farben va exploiter plus de 350 000 détenus pour produire le caoutchouc synthétique (cf. camp de Buna-Monowitz), et surtout du Zyklon B (gaz servant à gazer les déportés juifs par millions dans le cadre de la Solution finale dans les camps d’extermination).

Le travail entre 10 et 12 heures par jour souvent sous les coups des SS, l’absence de nourriture, d’hygiène, de repos, les températures pendant l’appel, expliquent l’espérance de vie d’un détenu de l’ordre de 6 mois.

Pour les déportés de France dans les camps de concentration, environ 96 000, plus de la moitié sont morts.

© USHMM

Les camps d’extermination

Dès l’hiver 1939/1940, les Juifs sont regroupés, affamés, dans les ghettos de Pologne et d’Union soviétique occupée.

À partir de 1941, ils sont fusillés sur le front et dans les pays de l’Est occupés, par les Einsatzgruppen (fusillades massives connues sous l’appellation de « Shoah par balles »), ou gazés, d’abord dans des camions par l’utilisation des gaz d’échappement puis dans les chambres à gaz des camps d’extermination de Chelmno, Belzec, Treblinka, Sobibor, Birkenau.

Dans les camps mixtes d’Auschwitz-Birkenau et de Majdanek, une minorité est « sélectionnée » à l’arrivée pour le travail forcé. Les sélectionnés seront identifiés par un numéro tatoué sur le bras gauche. 7 % des Juifs déportés de France désignés pour le travail ont survécu.

Le procès-verbal de la conférence de Wannsee du 20 janvier 1942, rédigé par Eichmann, ne laisse aucun doute sur le plan d’extermination systématique : plus de onze millions de Juifs de l’Europe entière (y compris les Juifs britanniques, suisses ou portugais) inclus dans le décompte statistique établi minutieusement par Eichmann, doivent être arrêtés et « évacués » vers l’Est où ils trouveront la mort. De grandes « rafles » seront organisées dans toute l’Europe.

Cette extermination se distingue par son caractère industriel, bureaucratique, systématique qui rend l’action génocidaire nazie unique dans l’histoire de l’humanité.

Ont été exterminés plus de 5 millions de Juifs, dont 1,5 million d’enfants, soit les 2/3 des Juifs d’Europe. (cf. travaux de Raoul Hilberg)

3% des 76 000 Juifs déportés de France ont survécu.

Il faut ajouter le génocide des Tsiganes et l’élimination des handicapés.

Bilan de la Seconde Guerre mondiale

Plus de 60 millions de morts (2,5 % de la population mondiale de l’époque) dont la moitié de civils.

Les souvenirs sont nos forces. Quand la nuit essaie de revenir, il faut allumer les grandes dates, comme on allume des flambeaux.

Victor Hugo

La mémoire de la Déportation
durant la Seconde Guerre mondiale
au cimetière du Père Lachaise

© Mairie de Paris

Introduction

Napoléon achète le domaine pour y établir le cimetière de l’Est parisien, appelé communément le cimetière du Père Lachaise, ouvert en 1804, aménagé par Brongniart -architecte de la Bourse de Paris, très arboré, et loti en 97 divisions.

 Avec près de 44 hectares, le cimetière du Père Lachaise est le plus vaste et le plus ancien des parcs publics parisiens, devenu un véritable jardin-musée d’art architectural et sculptural, attirant des visiteurs du monde entier.

 Lieu cosmopolite, symbole de pluralisme politique, social, idéologique, artistique et religieux, il est aussi un lieu de mémoire, unique au monde, avec ses monuments érigés en mémoire des victimes des différents conflits nationaux et guerres mondiales, le plus grand lieu dans Paris de commémorations officielles de la mémoire nationale.

A l’aube du dimanche 28 mai 1871, 147 Communards survivants des combats les opposants à l’armée versaillaise sont fusillés devant un mur nommé depuis lors « mur des Fédérés », mur reconstruit après la Commune à l’emplacement d’une carrière où ont été inhumées les victimes.

Ce « mur des Fédérés » est localisé dans la 97ème division. (voir plan du cimetière)

Dans cette 97ème division, puis dans la 77ème division au fil des années, a été regroupé un ensemble unique au monde de monuments funéraires érigés à la mémoire des victimes du système concentrationnaire nazi.

Pour que l’on garde à jamais le prix de la Liberté,

Les criminels nazis souhaitaient qu’il ne reste aucune trace ni aucun témoin des camps.

Les survivants ont voulu très vite rendre hommage à leurs camarades décédés.

Les Associations et Amicales de déportés ont décidé d’ériger des monuments. Ce sont principalement des cénotaphes. Des urnes, refermant des cendres rapportées des camps, sont placées dans le socle ou devant la sculpture.

Les familles n’ont pas récupéré les corps puisque brûlés dans les fours crématoires ou jetés dans les fosses communes. Ces monuments funéraires offrent une sépulture aux victimes mais sont donc aussi pour les familles des tombes symboliques où elles peuvent se recueillir.

Le 1er monument inauguré en 1949 est celui à la mémoire des déportés d’Auschwitz-Birkenau.

Ces monuments conservent la mission que leur a assignée leurs concepteurs, être veilleurs de pierre, pour rappeler aux visiteurs attentifs que cela fut.

Avec ces monuments, le cimetière du Père-Lachaise est devenu, un des hauts lieux, unique, universel, à la mémoire de la déportation.

 Un appel à la vigilance

Carte des camps du IIIe Reich
© FNDIRP

Dès son arrivée au pouvoir, Hitler s’efforce d’éliminer ses opposants politiques. Sont conduits dans des camps de concentration tous ceux qui gênent par leur idéologie politique, syndicale, et/ou leur confession religieuse, en particulier juive. Ces camps seront agrandis, d’autres créés pour recevoir les opposants des pays conquis par le Reich hitlérien.

Ces déportés sont utilisés massivement et « industriellement » pour les besoins de guerre du Reich jusqu’à ce qu’ils soient anéantis par le travail. En 1942, est appliquée la « solution finale » organisée par la conférence de Wannsee : l’extermination des Juifs par des techniques de destructions massives (chambres à gaz et fours crématoires).

Himmler et l’ingénieur d’IG-Farben
© DR

Dans les camps, les déportés pour motif politique devaient coudre sur le côté gauche de leur veste, un triangle de couleur rouge, pointe vers le bas, sur lequel était inscrite une lettre capitale indiquant leur nationalité : F pour les Français par exemple. (Les Allemands n’avaient pas de lettre).

Au-dessous du triangle, était écrit le numéro matricule que les détenus devaient connaître par cœur, en allemand. Ce triangle et ce matricule devenaient leur nouvelle identité.

En décembre 1941, le tatouage de ce numéro est testé sur des détenus soviétiques, véritable torture : une plaque, percée d’aiguilles formant les chiffres du matricule, est brutalement enfoncée dans la poitrine du déporté, puis de l’encre est apposée sur la peau incisée.

En 1942, le tatouage est pratiqué sur les détenus juifs polonais et slovaques.

Le 22 février 1943, le commandant d’Auschwitz-Birkenau, Rudolf Höss, décide de faire systématiquement tatouer ce numéro sur l’avant-bras gauche de tous les détenus, non immédiatement gazés à leur arrivée, hommes, femmes, juifs ou non, à l’exception des Allemands.

© FMD

Les camps de concentration

Les camps de concentration

Quelques semaines après l’accession au pouvoir d’Hitler, les camps de concentration ouvrent : Dachau en Bavière, Oranienburg-Sachsenhausen près de Berlin, Buchenwald dans le centre de l’Allemagne, près de Weimar.

Ces camps, construits par les détenus, sont de grande taille, fortifiés de miradors, entourés de fils barbelés électrifiés, gardés par des SS Totenkopf (Têtes de Mort), secondés par des Kapos, choisis parmi les déportés très souvent de droit commun (triangle vert).

Ils ont à peu près le même agencement :

– une zone d’internement proprement dite, avec des baraquements destinés aux prisonniers.

– une place d’appel, où les détenus sont appelés et comptés, matin et soir, pendant plusieurs heures, quelque soit la météo.

– le Revier, (infirmerie terme tout relatif) où de nombreuses expériences médicales sont menées.

– le Bunker, une prison

– une zone de pendaison

– des fours crématoires pour incinérer les cadavres.

– une zone de vie pour les SS, à l’extrémité du camp, parfois à l’extérieur, avec des maisons fleuries.

Ces camps enferment d’abord les Allemands : les opposants politiques (communistes, sociaux-démocrates), les syndicalistes, les « asociaux », les homosexuels, les Droits communs. Puis les détenus des zones occupées viendront de l’Europe entière pour servir de main-d’œuvre.

A leur arrivée, les déportés sont dépouillés de leurs effets personnels, déshabillés, douchés, tondus, passés au désinfectant. Ils reçoivent un habit en toile rayée blanche et bleue, des savates en bois. Enregistrés dès leur arrivée, ils reçoivent un numéro matricule à retenir en allemand en place de leur nom et un triangle à coudre sur leur vêtement au niveau de la poitrine. Parfois, leurs portraits sont photographiés. Le triangle est de couleurs différentes pour être distingués par les SS.

L’emplacement géographique de ces camps n’a rien du hasard : ils sont installés dans des lieux isolés, mais proches des lieux de matières premières ou des usines. Les détenus vont être loués aux entreprises allemandes, d’où l’essor de multiples sous-camps, les kommandos, dépendant du camp principal. Par ex : à côté des carrières, les camps de Mauthausen, du Struthof, de Flossenbürg ; à côté des briqueteries, les camps de Neuengamme, d’Oranienburg-Sachsenhausen.

2 500 entreprises vont utiliser cette main-d’œuvre : Siemens, Krupp, Thyssen, Daimler-Benz, Bosch, Opel, BMW, Volkswagen, Bayer, etc…  IG-Farben va exploiter plus de 350 000 détenus pour produire le caoutchouc synthétique (cf. camp de Buna-Monowitz), et surtout du Zyklon B (gaz servant à gazer les déportés juifs par millions dans le cadre de la Solution finale dans les camps d’extermination).

Le travail entre 10 et 12 heures par jour souvent sous les coups des SS, l’absence de nourriture, d’hygiène, de repos, les températures pendant l’appel, expliquent l’espérance de vie d’un détenu de l’ordre de 6 mois.

Pour les déportés de France dans les camps de concentration, environ 96 000, plus de la moitié sont morts.

© USHMM

Les camps d’extermination

Dès l’hiver 1939/1940, les Juifs sont regroupés, affamés, dans les ghettos de Pologne et d’Union soviétique occupée.

À partir de 1941, ils sont fusillés sur le front et dans les pays de l’Est occupés, par les Einsatzgruppen (fusillades massives connues sous l’appellation de « Shoah par balles »), ou gazés, d’abord dans des camions par l’utilisation des gaz d’échappement puis dans les chambres à gaz des camps d’extermination de Chelmno, Belzec, Treblinka, Sobibor, Birkenau.

Dans les camps mixtes d’Auschwitz-Birkenau et de Majdanek, une minorité est « sélectionnée » à l’arrivée pour le travail forcé. Les sélectionnés seront identifiés par un numéro tatoué sur le bras gauche. 7 % des Juifs déportés de France désignés pour le travail ont survécu.

Le procès-verbal de la conférence de Wannsee du 20 janvier 1942, rédigé par Eichmann, ne laisse aucun doute sur le plan d’extermination systématique : plus de onze millions de Juifs de l’Europe entière (y compris les Juifs britanniques, suisses ou portugais) inclus dans le décompte statistique établi minutieusement par Eichmann, doivent être arrêtés et « évacués » vers l’Est où ils trouveront la mort. De grandes « rafles » seront organisées dans toute l’Europe.

Cette extermination se distingue par son caractère industriel, bureaucratique, systématique qui rend l’action génocidaire nazie unique dans l’histoire de l’humanité.

Ont été exterminés plus de 5 millions de Juifs, dont 1,5 million d’enfants, soit les 2/3 des Juifs d’Europe. (cf. travaux de Raoul Hilberg)

3% des 76 000 Juifs déportés de France ont survécu.

Il faut ajouter le génocide des Tsiganes et l’élimination des handicapés.

Bilan de la Seconde Guerre mondiale

Plus de 60 millions de morts (2,5 % de la population mondiale de l’époque) dont la moitié de civils.

Les souvenirs sont nos forces. Quand la nuit essaie de revenir, il faut allumer les grandes dates, comme on allume des flambeaux.

Victor Hugo

GLOSSAIRE

Abwehr : service de renseignement militaire de l’état-major allemand. Dans les pays occupés, l’Abwehr dispose d’antennes pour y mener la lutte contre les Résistants. En France, l’organisation occupait l’Hôtel Lutetia à Paris. Dans les pays neutres, les agents de l’Abwehr se cachent sous la couverture d’attachés d’ambassade ou de personnels de mission commerciale. Ces postes étaient appelés Organisation de guerre (« Kriegsorganisationen » ou « KO’s » en allemand).

Block : baraque de détenus (Häftlingsbaracke)

Châlit : planches de bois servant de lit

DEST (Deutsche Erd- und Steinwerke GmbH) : entreprise SS créée pour acheter et fabriquer des matériaux de construction pour des projets de construction publics en Allemagne nazie. Son siège était situé à Sankt Georgen an der Gusen, une petite ville autrichienne où le kommando de Mauthausen, Gusen II, a été construit en 1944.

Gestapo : (abréviation de Geheime Staatspolizei », « police secrète d’État ») est la police politique de l’État nazi. Fondée par Hermann Goering, son pouvoir s’étendit sous l’impulsion de Heinrich Himmler à l’ensemble du Reich et des territoires envahis. Chargée de lutter contre les adversaires du régime nazi, elle fut, par ses exactions, synonyme de terreur et d’arbitraire. Elle joua un rôle essentiel dans l’extermination des Juifs d’Europe, notamment via l’Amt B4 (bureau B4), dirigé par Adolf Eichmann.

Einsatzgruppen : (groupes d’intervention) sont des unités de police militarisées, mobiles, chargées de l’assassinat systématique des opposants et des Juifs, agissant à l’arrière du front de l’Est dans les territoires occupés (Pologne, URSS, Pays Baltes), obéissant à l’Office central de la sécurité du Reich chargé de la mise en œuvre de la Shoah.

Kommando : détachement de prisonniers affectés à une tâche. Le terme désigne aussi le lieu de détention d’un camp de concentration regroupant des prisonniers travaillant à l’extérieur du camp. S’écrit avec un « k » pour distinguer le terme commando en langage militaire.

KL ou KZ : abréviation de Konzentration Lager (camp de concentration) ; camp principal auquel il faut ajouter les kommandos de travail. L’être humain y est exploité jusqu’au bout de ses forces. K spécial désigne un centre de mise à mort.

Kristallnacht : Dans la nuit du 9 au 10 novembre 1938, les dirigeants nazis déclenchent une série de pogroms contre la population juive d’Allemagne et de ses nouveaux territoires. Cet événement prend le nom de Kristallnacht – la Nuit de cristal – en raison des débris de verre jonchant les rues après le vandalisme et les destructions de commerces, synagogues et foyers juifs.

Matricule : numéro identifiant le déporté, occultant ainsi son nom. Le déporté devait coudre ce numéro sur le vêtement au niveau de la poitrine et l’apprendre en allemand. En décembre 1941, le tatouage de ce numéro est testé sur des détenus soviétiques, véritable torture : une plaque, percée d’aiguilles formant les chiffres du matricule, est brutalement enfoncée dans la poitrine du déporté, puis de l’encre est apposée sur la peau incisée. En 1942, le tatouage est pratiqué sur les détenus juifs polonais et slovaques. Le 22 février 1943, le commandant d’Auschwitz-Birkenau, Rudolf Höss, décide de faire systématiquement tatouer ce numéro sur l’avant-bras gauche de tous les détenus, hommes, femmes, juifs ou non, à l’exception des Allemands.

NN – « Nacht und Nebel », « Nuit et Brouillard ») : expression empruntée par Himmler au livret de l’« Or du Rhin » de Richard Wagner. Par décrets des 7 et 12 décembre 1941 signés par Keitel, chef du Haut Commandement de la Wehrmacht, il est décidé que les opposants politiques, communistes ou saboteurs des pays occupés, belges, luxembourgeois, néerlandais, norvégiens et français, ne seraient plus jugés dans leurs pays mais seraient secrètement transférés en Allemagne, gardés au secret dans des prisons, des lieux d’internement, des camps de concentration, en étant séparés des autres déportés. Ils seraient reconnaissables par les lettres NN ou des X peints sur leurs vêtements. Les premiers NN français furent envoyés à Hinzert près de Trêves puis à partir de juillet 1943 au Struthof en Alsace annexée. Le 30 juillet1944 un autre décret Keitel « Terreur et Sabotage » remplace celui de 1941. On estime à 7 000 le nombre de déportés NN en France. (in La Déportation NN dite « Nuit et Brouillard », revue de la Fondation pour la Mémoire de la Déportation : Mémoire Vivante n°59 – Décembre 2008)

Organisation Todt en France (1940-1944) : Général et technicien allemand, Fritz Todt (1891-1942), membre du parti nazi, se voit chargé de l’aménagement des transports du Reich et la construction des autoroutes. Une organisation civile du nom de son chef, l’Organisation Todt, est créée pour utiliser à des fins économiques et stratégiques l’activité de centaines de milliers d’ouvriers en chômage requis à cet effet. Elle participe à la construction des routes, ponts, emplacements de batterie d’artillerie, abris sous-marins, aérodromes, galeries souterraines, ouvrages fortifiés, bases de lancement de fusées, la réparation des ports, canaux, barrages hydroélectriques. A partir de 1942, sa grande mission est la construction du mur de l’Atlantique (Atlantikwall) une fortification du littoral de l’Europe de l’Ouest (Pays-Bas, Belgique, France) par lequel Hitler prétend interdire tout débarquement anglo-saxon en Europe continentale.
Sources : Encyclopédia Universalis et L’Organisation Todt en France (1940-1944) Par Rémy Desquesnes In Histoire, Economie et Société, n°3, 1992 éd. Sedès, Paris

Revier : (abréviation de Krankenrevier) est le quartier des malades dans un bâtiment militaire. Selon Charlotte Delbo, déportée à Auschwitz, ce mot au camp n’est pas traduisible en français car « ce n’est ni hôpital, ni ambulance, ni infirmerie. C’est un lieu infect où les malades pourrissent sur trois étages. »

SS : (abréviation de Schutzstaffel) est à l’origine la garde chargée de la protection personnelle de Hitler, sous le commandement de Himmler. Se développe ensuite une organisation d’une puissance considérable, dont une partie : Totenkopfverbände, les SS à tête de mort, est chargée de la garde des camps de concentration et d’extermination.

Stalag : camp de prisonniers de guerre, sous-officiers et soldats (pour les officiers : Oflag)

Transport ou Convoi : train emmenant des détenus d’un camp d’internement (par ex. en France : Compiègne-Royallieu ou Drancy) vers un camp de concentration (ex. Buchenwald pour les hommes, Ravensbrück pour les femmes) ou d’extermination (ex. Auschwitz-Birkenau, Belzec, Chelmno, Majdanek, Sobibor, Treblinka pour les familles juives et tziganes)

Wehrmacht : armée allemande entre 1935 et 1946

GLOSSAIRE

 Abwehr : service de renseignement militaire de l’état-major allemand. Dans les pays occupés, l’Abwehr dispose d’antennes pour y mener la lutte contre les Résistants. En France, l’organisation occupait l’Hôtel Lutetia à Paris. Dans les pays neutres, les agents de l’Abwehr se cachent sous la couverture d’attachés d’ambassade ou de personnels de mission commerciale. Ces postes étaient appelés Organisation de guerre (« Kriegsorganisationen » ou « KO’s » en allemand).

Block : baraque de détenus (Häftlingsbaracke)

Châlit : planches de bois servant de lit

DEST (Deutsche Erd- und Steinwerke GmbH) : entreprise SS créée pour acheter et fabriquer des matériaux de construction pour des projets de construction publics en Allemagne nazie. Son siège était situé à Sankt Georgen an der Gusen, une petite ville autrichienne où le kommando de Mauthausen, Gusen II, a été construit en 1944.

Gestapo : (abréviation de Geheime Staatspolizei », « police secrète d’État ») est la police politique de l’État nazi. Fondée par Hermann Goering, son pouvoir s’étendit sous l’impulsion de Heinrich Himmler à l’ensemble du Reich et des territoires envahis. Chargée de lutter contre les adversaires du régime nazi, elle fut, par ses exactions, synonyme de terreur et d’arbitraire. Elle joua un rôle essentiel dans l’extermination des Juifs d’Europe, notamment via l’Amt B4 (bureau B4), dirigé par Adolf Eichmann.

Einsatzgruppen : (groupes d’intervention) sont des unités de police militarisées, mobiles, chargées de l’assassinat systématique des opposants et des Juifs, agissant à l’arrière du front de l’Est dans les territoires occupés (Pologne, URSS, Pays Baltes), obéissant à l’Office central de la sécurité du Reich chargé de la mise en œuvre de la Shoah.

Kommando : détachement de prisonniers affectés à une tâche. Le terme désigne aussi le lieu de détention d’un camp de concentration regroupant des prisonniers travaillant à l’extérieur du camp. S’écrit avec un « k » pour distinguer le terme commando en langage militaire.

KL ou KZ : abréviation de Konzentration Lager (camp de concentration) ; camp principal auquel il faut ajouter les kommandos de travail. L’être humain y est exploité jusqu’au bout de ses forces. K spécial désigne un centre de mise à mort.

Kristallnacht : Dans la nuit du 9 au 10 novembre 1938, les dirigeants nazis déclenchent une série de pogroms contre la population juive d’Allemagne et de ses nouveaux territoires. Cet événement prend le nom de Kristallnacht – la Nuit de cristal – en raison des débris de verre jonchant les rues après le vandalisme et les destructions de commerces, synagogues et foyers juifs.

Matricule : numéro identifiant le déporté, occultant ainsi son nom. Le déporté devait coudre ce numéro sur le vêtement au niveau de la poitrine et l’apprendre en allemand. En décembre 1941, le tatouage de ce numéro est testé sur des détenus soviétiques, véritable torture : une plaque, percée d’aiguilles formant les chiffres du matricule, est brutalement enfoncée dans la poitrine du déporté, puis de l’encre est apposée sur la peau incisée. En 1942, le tatouage est pratiqué sur les détenus juifs polonais et slovaques. Le 22 février 1943, le commandant d’Auschwitz-Birkenau, Rudolf Höss, décide de faire systématiquement tatouer ce numéro sur l’avant-bras gauche de tous les détenus, hommes, femmes, juifs ou non, à l’exception des Allemands.

NN – « Nacht und Nebel », « Nuit et Brouillard ») : expression empruntée par Himmler au livret de l’« Or du Rhin » de Richard Wagner. Par décrets des 7 et 12 décembre 1941 signés par Keitel, chef du Haut Commandement de la Wehrmacht, il est décidé que les opposants politiques, communistes ou saboteurs des pays occupés, belges, luxembourgeois, néerlandais, norvégiens et français, ne seraient plus jugés dans leurs pays mais seraient secrètement transférés en Allemagne, gardés au secret dans des prisons, des lieux d’internement, des camps de concentration, en étant séparés des autres déportés. Ils seraient reconnaissables par les lettres NN ou des X peints sur leurs vêtements. Les premiers NN français furent envoyés à Hinzert près de Trêves puis à partir de juillet 1943 au Struthof en Alsace annexée. Le 30 juillet1944 un autre décret Keitel « Terreur et Sabotage » remplace celui de 1941. On estime à 7 000 le nombre de déportés NN en France. (in La Déportation NN dite « Nuit et Brouillard », revue de la Fondation pour la Mémoire de la Déportation : Mémoire Vivante n°59 – Décembre 2008)

Organisation Todt en France (1940-1944) : Général et technicien allemand, Fritz Todt (1891-1942), membre du parti nazi, se voit chargé de l’aménagement des transports du Reich et la construction des autoroutes. Une organisation civile du nom de son chef, l’Organisation Todt, est créée pour utiliser à des fins économiques et stratégiques l’activité de centaines de milliers d’ouvriers en chômage requis à cet effet. Elle participe à la construction des routes, ponts, emplacements de batterie d’artillerie, abris sous-marins, aérodromes, galeries souterraines, ouvrages fortifiés, bases de lancement de fusées, la réparation des ports, canaux, barrages hydroélectriques. A partir de 1942, sa grande mission est la construction du mur de l’Atlantique (Atlantikwall) une fortification du littoral de l’Europe de l’Ouest (Pays-Bas, Belgique, France) par lequel Hitler prétend interdire tout débarquement anglo-saxon en Europe continentale.
Sources : Encyclopédia Universalis et L’Organisation Todt en France (1940-1944) Par Rémy Desquesnes In Histoire, Economie et Société, n°3, 1992 éd. Sedès, Paris

Revier : (abréviation de Krankenrevier) est le quartier des malades dans un bâtiment militaire. Selon Charlotte Delbo, déportée à Auschwitz, ce mot au camp n’est pas traduisible en français car « ce n’est ni hôpital, ni ambulance, ni infirmerie. C’est un lieu infect où les malades pourrissent sur trois étages. »

SS : (abréviation de Schutzstaffel) est à l’origine la garde chargée de la protection personnelle de Hitler, sous le commandement de Himmler. Se développe ensuite une organisation d’une puissance considérable, dont une partie : Totenkopfverbände, les SS à tête de mort, est chargée de la garde des camps de concentration et d’extermination.

Stalag : camp de prisonniers de guerre, sous-officiers et soldats (pour les officiers : Oflag)

Transport ou Convoi : train emmenant des détenus d’un camp d’internement (par ex. en France : Compiègne-Royallieu ou Drancy) vers un camp de concentration (ex. Buchenwald pour les hommes, Ravensbrück pour les femmes) ou d’extermination (ex. Auschwitz-Birkenau, Belzec, Chelmno, Majdanek, Sobibor, Treblinka pour les familles juives et tziganes)

Wehrmacht : armée allemande entre 1935 et 1946

SOURCES ET LIENS

Ce site a été conçu par la délégation de Paris des Amis de la Fondation pour la Mémoire de la Déportation (https://afmd.org)
Bénévoles : Annick André, Catherine Breton, Brigitte Bricout, Françoise Dupont, Dominique Hippolyte, Michel Schoentjes.
Photographe professionnel : Vincent Gerbet pour les monuments au cimetière.
Webmaster : D. Beau.

Sources générales

Mairie de Paris, Musée de la Résistance nationale (Champigny), Mémorial Leclerc et de la Libération de Paris-Musée Jean Moulin (Ville de Paris), Monuments à la mémoire des déporté(e)s victimes des camps de concentration et d’extermination nazis, Cimetière du Père Lachaise, éd. Mairie de Paris, 2007.

– FONTAINE Thomas, DEPORTATIONS & GENOCIDE – l’impossible oubli, éd. FNDIRP/Tallandier, coll. Contemporaine, 2009.

– RUBY Marcel, Le livre de la déportation, éd. Robert Laffont, 2009

– Fédération Nationale des Déportés et Internés, Résistants et Patriotes, La Déportation, éd. Ramsey/FNDIRP, 1967

http://ufacbagnolet.over-blog.com/article-memoire-de-la-deportation-les-monuments-du-cimetiere-du-pere-lachaise-2-2-48765447.html

Auschwitz

– Fondation de la mémoire et de la Déportation, revue Mémoire Vivante, n°41, dossier Auschwitz, 2004

– Le Cercle d’étude de la Shoah et des associations locales du Midi-Pyrénées, Colloque Auschwitz : Mémoire, Histoire et transmission, 2005

https://www.cercleshoah.org

– Mémoire Vive des convois des 45 000 et 31 000 d’Auschwitz-Birkenau

http://www.memoirevive.org/

– https://fr.wikipedia.org>wiki>Auschwitz

– BESSIERE André, Destination Auschwitz avec Robert Desnos, Ed. L’Harmattan, coll. Mémoires du XXème siècle, 2003

– DELBO Charlotte, Le convoi du 24 janvier, Les Éditions de Minuit, 1965

– FONTAINE Thomas, Déportations et génocide – L’impossible oubli, éd. FNDIRP/Tallandier,

coll. Contemporaine, 2009

– FONTAINE Thomas, Les oubliés de Romainville – un camp allemand en France (1940-1944),

 éd. Tallandier, coll. Albums Illustrés, 2005

– TRIEBEL Agnès, La déportation dans les camps nazis, NANE Editions, Les collections du Citoyen, 2013

Bergen-Belsen

– Amicale française de Bergen-Belsen :

https://www.amicale-bergen-belsen.com/le-camp-de-bergen-belsen/historique-du-camp/

– Amis et Passionnés du Père Lachaise :

https://www.appl-lachaise.net/monument-aux-victimes-de-bergen-belsen/

– Fondation de la mémoire de la Déportation (FMD), revue Mémoire vivante, n°47, dossier Bergen-Belsen, 2005

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– FONTAINE Thomas, Déportations et génocide – L’impossible oubli, FNDIRP,

éd. Tallandier, coll. Contemporaine, 2009

– SAUREL Jacques, De Drancy à BergenBelsen 19441945 – Souvenirs rassemblés d’un enfant de déporté, Le manuscrit Eds, Coll. Témoignages de la Shoah, 2006

– « Le train perdu : Bergen-Belsen à Tröbitz » :

https://www.jewishgen.org/databases/Holocaust/0170_lost_train.html

– Mémorial de Bergen-Belsen en Allemagne : http://bergen-belsen.stiftung-ng.de

https://fr.wikipedia.org/wiki/Bergen-Belsen

Buchenwald-Dora

– Amicale française Buchenwald Dora et kommandos : https://asso-buchenwald-dora.com

https://asso-buchenwald-dora.com/le-kommando-de-ganderscheim/

https://www.jewishgen.org/forgottencamps/witnesses/nickolsfr.html

https://museedelaresistanceenligne.org/media6386-Liste-de-dports-transfrs-de-Buchenwald-au kommando-de-Gandersheim

https://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_Kommandos_de_Buchenwald_Dora

– ANTELME Robert, L’espèce humaine, écrit en 1947, éd. Gallimard, coll. Tel, 1978

Edgar Morin : « Beaucoup de récits de déportés sont des récits théoriques, écrits dans une langue stéréotypée. […] L’espèce humaine était le premier, je dirai même le seul livre qui fût au niveau de l’humanité, au niveau de l’expérience nue, vécue et exprimée avec les mots les plus simples et les plus adéquats qui soient… […] pour moi le livre qui parle à ce niveau d’existence, d’expérience et dépourvu de tout sentiment de haine personnalisée, de toute mesquinerie, bien entendu de toute injustice, pour moi ça reste L’espèce humaine. »

– BLATMAN Daniel, Les Marches de la mort, La dernière étape du génocide nazi 1944-1945, éd. Fayard, 2009.

– Cercle d’étude de la Déportation et de la Shoah-Amicale d’Auschwitz, Les Marches et Trains de la mort,    juin 2016.

– DURAND Pierre, La Résistance des français à Buchenwald et à Dora, Editions sociales, 1982, réédité en 2020, éd. Delga.

– KERTÈSZ Imre, Être sans destin, Actes Sud, 1997, traduit du hongrois par Charles Zaremba et Natalia Zaremba-Huzsvai, prix Nobel de littérature en 2002.

– Mémoire vivante, bulletin de la Fondation pour la Mémoire de la Déportation, Buchenwald, n°35, oct. 2002 et Dora, n°48, déc. 2005.

– Le Serment, bulletin de l’Association Buchenwald-Dora et Kommandos : n° spécial « Cinquantenaire de la Libération », 1995 et supplément au n°379 : n° spécial pour le 75ème anniversaire 1945-2020 sous la direction de Dominique DURAND.

– LALIEU Olivier, La Zone grise ? La Résistance française à Buchenwald, préface de Jorge Semprun, éd. Taillandier, 2005.

– ORLOWSKI Dominique (sous la direction de), Buchenwald par ses témoins – Histoire du camp et ses kommandos, préface de Bertrand Herz, éd. Belin, 2014.

– THIERCELIN Jean-Pierre, De l’enfer à la lune, pièce de théâtre, éd. de l’Amandier, 2006.

– THIERY Laurent (Sous la direction de), Le livre des 9 000 déportés de France à Mittelbau-Dora, camp de concentration et d’extermination par le travail, préface d’Aurélie Filippetti, éd. Cherche Midi, 2000.

– SEMPRUN Jorge, Le grand voyage, Collection Blanche, éd. Gallimard, 1963.

– TASLITZKY Boris, Cent-onze dessins faits à Buchenwald, rassemblés par l’Association Buchenwald- Dora, éd. Hautefeuille, 1978

Buna-Monowitz

–  https://memoiresdesdeportations.org/les-camps/pologne-auschwitz-iii-monowitz

– https://fr.wikipedia.org>wiki>Monowitz-Buna

– Amis et passionnés du Père Lachaise (APPL) : https://www.appllachaise.net/monument-aux-victimes-de-buna-monowitz- auschwitz-iii/

– BERKOVER André, Matricule A165572, (en coopération avec F.Wehrbach), Société des Gens de Lettres, 2008

– BRAUN Sam, Personne ne m’aurait cru, alors je me suis tu, témoignage, entretien avec Stéphane Guinoiseau, éd. Albin Michel, Paris, 2007.

– LEVI Primo Levi, Si c’est un homme (Se questo è un uomo), traduction de Martine Schruoffenegger, éd. Pocket, 1988

– LEVI Primo, Les Naufragés et les Rescapés, (I sommersi e i salvati), éd. Gallimard, Paris, 1989

–  PALANT Charles : « Je crois au matin », éd. Le Manuscrit/Fondation pour la Mémoire de la Shoah, 2009.

– WIESEL Elie, La Nuit, témoignage, Paris, Les Éditions de Minuit, 1958.

 

Dachau

– Amicale française du camp de concentration de Dachau : https://dachau.fr/

– Amicale des Déportés Résistants du Train Fantôme, Le Train Fantôme juillet 1944 Brochure, éd. Sorgues Vaucluse, Juillet 2015.

www.appl-lachaise.net/monuments-aux-victimes-de-Dachau

– FMD Livre Mémorial : http://www.bddm.org/liv/details.php?id=I.240. (Train de la mort)

– FMD livre Mémorial : http://www.bddm.org/liv/details.php?id=I.261 (Train Fantôme)

– FNDIRP (carte de situation géographique)

– Film : Cérémonie du 3 juillet 2004 pour le 60ème anniversaire du passage du train dans la commune le 2 juillet 1944, Atelier vidéo du Foyer pour Tous de Saint-Brice-Courcelles, 2004

– Film : Les Résistants du Train Fantôme, Jorge Amat, écrit et raconté par Guy Scarpetta, 2016.

– MICHELET Edmond, Rue de la Liberté : Dachau 1943-1945, Paris, Éd. du Seuil, 1955

Flossenbürg

https://www.gedenkstaette-flossenbuerg.de

– Catalogue tiré de l’exposition : Camp de concentration de Flossenbürg 1938-1945, éd. KZ – Gedenkstäte Flossenbürg

– Association (française) des Déportés et familles de disparus du camp de concentration de Flossenbürg & Kommandos : https://asso-flossenburg.com

– Fondation de la Mémoire de la Déportation, revue Mémoire vivante, n°36, 2003

– https://fondationmemoiredeportation.com

– http://www.bddm.org/aud/camps.php?id=Flossenbürg, Hersbruck

https://en.wikipedia.org/wiki/Leitmeritz_concentration_camp

– RUBY Marcel, Le Livre de la Déportation, éd. Robert Laffont, Paris, 1995

Le convoi 73 (Kaunas et Tallinn)

– BLUM-CHERCHEVSKY Ève-Line, Nous sommes 900 Français in http://www.convoi73.org

– Bulletin de l’AFMD, Mémoire et Vigilance, n°102, oct./déc. 2023.

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– Les Amis et passionnés du Père Lachaise : https://www.appl-lachaise.net/monument-aux-deportes-de- kaunas-et-reval-tallinn/

http://www.convoi73.org/francais/SteleLachaise/La%20stele.htm

https://mnemosyne.ee/wp-content/uploads/2020/06/Orjekh.-Intervention-Convoi-73

https://regard-est.com/estonie-la-prison-de-patarei-enjeu-memoriel-insoluble-2

https://www.yadvashem.org/fr/shoah/a-propos/debut-solution-finale/le-massacre-des-juifs-des-pays-baltes.html

Mauthausen

– Amicale française de Mauthausen : https://campmauthausen.org

– Mémorial de Mauthausen en Autriche : https://www.mauthausen-memorial.org

– DEBRISE (DREYFUS) Gilbert, Cimetières sans tombeaux, préface d’Aragon. Ed. La Bibliothèque f rançaise, 1945.

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– FREUND, Florian, Ebensee-Kommando de Mauthausen. Souvenirs de rescapés, édition revue et augmentée. Amicale de Mauthausen. Paris, 2016

– LACAZE, André, Le tunnel. Ed. Julliard,1978

– LAFFITTE, Jean, Ceux qui vivent, Ed. Hier et Aujour’dhui, 1947 ; rééd. Les Editeurs français réunis, 1958.

– LEE, Adeline, Les Français à Mauthausen-Par-delà la foule de leurs noms, éd. Tallandier, Paris, 2021

– SCHWANNINGER, Florian, Le château de Hartheim et le « Traitement spécial 14f13 », Revue d’Histoire de la Shoah, 2013/2 (N° 199)

– TESSIER, Christian et DEDET, Daphné, Du Loibl Pass à la brigade Liberté, éd. La clé du chemin, 2015

– TILLARD, Paul, Le pain des temps maudits, éd. Julliard, 1965

– Zeitgeschichte Museum Ebensee- Camp de concentration d’Ebensee. Catalogue d’exposition 1999

http://www.melk-memorial.org

http://www.schloss-hartheim.at/

https://memorial-ebensee.at/website/index.php/fr/memorial-fr

http://jsegalavienne.wordpress.com/2010/11/12/un-film-qui-en-dit-long/

https://collections.ushmm.org : DÜRR Christian, Lechner Ralf, Wolfinger Stefan, Camp de concentration de Gusen 1939-1945, Traces-Fragments-Reconstruction, éd. KZ- Gedenkstätte Gusen,1967

https://afmd.org/en/loibl-pass-9379html

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https://www.gusen-memorial.org/fr

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https://fr.wikiital.com/wiki/Campo_di_concentramento_di_Ebensee

 

Monument aux enfants juifs

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https://www.musee-memorial-cercil.fr/

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– ANQUETIL Frédéric, Annette Monod, L’ange du Vel d’Hiv, de Drancy et des camps du Loiret, éd. Ampelos, 2018.

– BERRI Claude, Le Vieil Homme et l’Enfant, film, 1967.

– CHRISTOPHE Francine, Une petite fille privilégiéeUne enfant dans le monde des camps 1942-1945, éd. L’Harmattan, 1996 ; rééd. Pocket 2001.

– CLING Daniel, Adélaïde H, une résistante alsacienne, film sur Adélaïde Hautval, 2021.

– Fondation pour la Mémoire de la Déportation, Mémoire Vivante, n° 57 : Les enfants et les adolescents dans le système concentrationnaire nazi (sujet du Concours National de la Résistance et de la Déportation, 2008/2009.

– GAREL Georges, avec la participation de Katy HAZAN, Le sauvetage des enfants juifs par l’OSE, éd. Le Manuscrit, coll. « Témoignages de la Shoah », 2012.

– GOSSELS Lisa et WETHERELL, Les enfants de Chavannes, film, 1999.

– MALLE Louis, Au revoir les enfants, film, 1987.

– ZAJDE Nathalie, Les enfants cachés en France, éd. Odile Jacob, Paris, 2012.

Monument aux Espagnols

– Amicale de Mauthausen (France) : https://campmauthausen.org

– Association du 24 août 1944 – La Nueve : https://www.24-aout-1944.org

– BERMEJO Benito, Le photographe de Mauthausen – L’histoire de Francisco Boix et des photos dérobées aux SS, éd. Territoires de la Mémoire, coll. Points d’encrage, Liège, 2016

CONSTANTIN Mario et RAZOLA Manuel, Triangle bleu : Les Républicains espagnols à Mathausen, éd. Le Félin, 2002

– GUERRERO MORENO Rafael, Rotspanier, les esclaves espagnols du nazisme, documentaire, 2023

– MONTSERRAT Roig, Les Catalans dans les camps nazis, Ed. Triangle bleu, 2005

– OLIVARES Véronique et SALOU Pierre, préface de Michel REYNAUD, éd Tirésias, 2015

https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/pas-la-peine-de-crier/triangle-4-5-l-histoire-des-triangles-bleus-1524110

Natzweiler-Struthof

Amicale nationale des déportés et familles de disparus de Natzweiler-Struthof et de ses kommandos : https://amicalenatzweilerstruthof.fr/

Amicale nationale des déportés et familles de disparus de Natzweiler-Struthof et de ses kommandos : « Natzweiler-Struthof, l’Histoire et ses témoins », Éditions Tirésias-Michel Reynaud

– Amis et Passionnés du Père Lachaise (APPL) :

https://www.appl-lachaise.net/monument-aux-victimes-de-nacht-und-nebel/

– Association Mine de Rien : La voix du rêve, film-DVD, Amiens, 2020

– Bulletin de l’AFMD « Mémoire et Vigilance » : n° 35 – 77 – 91 – 96 – 98

– Bulletin de la Fondation pour la Mémoire de la Déportation (FMD) « Mémoire vivante » : n°44

– Camp annexe du Fort de Queuleu (Metz) : http://www.fort-queuleu.com

– Centre européen du Résistant déporté : https://www.struthof.fr

– D’ANDLEU Guillaume, Le KL Natzweiler-Struthof. Un camp de concentration en Alsace annexée ,  I.D. l’Édition, 2023

– KERSHAW Ian, La Fin. Allemagne 1944-1945, Paris, Le Seuil, 2012.

– Journal « Le Monde », article : « Struthof : L’Université de Strasbourg confrontée à son passé », du 5 mai 2022

– PAHOR Boris, LUCK-GAYE Andrée, Pèlerin parmi les ombres, éd. La Table ronde, 1996.

– Revue « En Jeu » de la FMD : Histoire et Mémoires vivantes : Nouvelles recherches sur les déportations et les camps (décembre 2017 n°10) Chez Septentrion Presses Universitaires

– STEEGMANN Robert, Struthof. Le KL-Natzweiler et ses kommandos : une nébuleuse concentrationnaire des deux côtés du Rhin, 1941-1945, éd. La Nuée bleue, 2005.

– Tunnel d’Urbès (Haut-Rhin) : https://letunneldurbes.wixsite.com

– Verbunds der Gedenkstätten im ehemaligen KZ-Komplex Natzweiler e.V.(VGKN) : http://vgkn.eu/de/startseite/ En Allemagne, le VGKN est l’association regroupant les lieux avec monuments commémoratifs et mémoriaux érigés sur les différents sites annexes relevant de l’ancien complexe concentrationnaire de Natzweiler.

Neuengamme

Amicale française de Neuengamme : https://www.campneuengamme.org

– Amis de la Fondation pour la Mémoire de la Déportation (AFMD) :

Revues Mémoire et Vigilance n°90 Janvier-mars 2020 et n°92 Juillet-septembre 2021

– Fondation pour la Mémoire de la Déportation (FMD) :

Revues Mémoire Vivante, dossiers Neuengamme 2003 et Aurigny-Alderney 2009

https://fr.wikipedia.org/wiki/Camps_d%27Aurigny

http://www.kinder-vom-bullenhuser-damm.de/

www.kz-gedenkstaette-neuengamme.de

www.kz-gedenkstaette-in-hamburg.de

Oranienburg-Sachsenhausen

– https://www.souviens-toi.org

– Amicale d’Oranienburg-Sachsenhausen, « SACHSO », éd. Minuit/Plon, 2003

– Amicale française d’Oranienburg-Sachsenhausen : http://www.campsachsenhausen.org/

– FMD Livre Mémorial : http://www.bddm.org/liv/details.php?id=I281 (Train de Loos)

– Le Maner Yves, Le « Train de Loos ». Le grand drame de la déportation dans le Nord-Pas-de-Calais, éd. La Coupole, 2003

– Mémorial du camp de Sachsenhausen en Allemagne : https://www.sachsenhausen-sbg.de/en/

– Morsch Günter & Ley Astrid, Le camp de concentration de SACHSENHAUSEN 1936-1945 Chronologie et évolution, éd. Metropol, 2013.

http://sachsenhausen-rapport.over-blog.com/pages/La_marche_de_la_mort_et_le_bois_de_Below- 515475.html

– Film : Les Faussaires (Die Fälscher), de Stefan Ruzowitzky, 2007, tiré du livre autobiographique « L’atelier du diable » d’Adolf Burger. Oscar du meilleur film en langue étrangère.

 

Ravensbrück

– Amicale de Ravensbrück et Association des Déportées et Internées de la Résistance,

 Les Françaises à Ravensbrück, Paris, Gallimard, 1965

– TILLION Germaine, Ravensbrück, éd. du Seuil, 1973

– Amicale de Ravensbrück et des commandos dépendants, Revivre et construire demain, Paris, 1994

– CHOMBART de LAUWE, Marie-José, Toute une vie de résistance, éd. Graphein/FNDIRP, 1998

Fondation pour la Mémoire de la Déportation, « Mémoire Vivante », n°97 : Ravensbrück.

– Internationales Ravensbrück Komitee : https://irk-cir.org

– Mémorial de Ravensbrück, Allemagne : https://www.ravensbrueck-sbg.de/en/

https://encyclopedia.ushmm.org/content/fr/article/ravensbrueck

 

Rawa-Ruska

Association « Ceux de Rawa-Ruska », Le camp de représailles des militaires évadés résistants, RAWA- RUSKA, Camp 325 en Ukraine 1942-1944, brochure

– Association « Ceux de Rawa-Ruska », revue EnVols, n°29

https://rawa-ruska-union-nationale.fr/

https://fr.wikipedia.org/wiki/Rava-Rouska

https://www.appl-lachaise.net/monument-aux-prisonniers-de-rawa-ruska/

SOURCES ET LIENS

Ce site a été conçu par la délégation de Paris des Amis de la Fondation pour la Mémoire de la Déportation (https://afmd.org)
Bénévoles : Annick André, Catherine Breton, Brigitte Bricout, Françoise Dupont, Dominique Hippolyte, Michel Schoentjes.
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– FONTAINE Thomas, DEPORTATIONS & GENOCIDE – l’impossible oubli, éd. FNDIRP/Tallandier, coll. Contemporaine, 2009.

– RUBY Marcel, Le livre de la déportation, éd. Robert Laffont, 2009

– Fédération Nationale des Déportés et Internés, Résistants et Patriotes, La Déportation, éd. Ramsey/FNDIRP, 1967

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– Fondation de la mémoire et de la Déportation, revue Mémoire Vivante, n°41, dossier Auschwitz, 2004

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– Mémoire Vive des convois des 45 000 et 31 000 d’Auschwitz-Birkenau

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– BESSIERE André, Destination Auschwitz avec Robert Desnos, Ed. L’Harmattan, coll. Mémoires du XXème siècle, 2003

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– TRIEBEL Agnès, La déportation dans les camps nazis, NANE Editions, Les collections du Citoyen, 2013

Bergen-Belsen

– Amicale française de Bergen-Belsen :

https://www.amicale-bergen-belsen.com/le-camp-de-bergen-belsen/historique-du-camp/

– Amis et Passionnés du Père Lachaise :

https://www.appl-lachaise.net/monument-aux-victimes-de-bergen-belsen/

– Fondation de la mémoire de la Déportation (FMD), revue Mémoire vivante, n°47, dossier Bergen-Belsen, 2005

– Fondation de la mémoire de la Déportation (FMD), revue Mémoire vivante, n°66, dossier sur le sort de familles de prisonniers de guerre juifs de France, 2010

– FONTAINE Thomas, Déportations et génocide – L’impossible oubli, FNDIRP,

éd. Tallandier, coll. Contemporaine, 2009

– SAUREL Jacques, De Drancy à BergenBelsen 19441945 – Souvenirs rassemblés d’un enfant de déporté, Le manuscrit Eds, Coll. Témoignages de la Shoah, 2006

– « Le train perdu : Bergen-Belsen à Tröbitz » :

https://www.jewishgen.org/databases/Holocaust/0170_lost_train.html

– Mémorial de Bergen-Belsen en Allemagne : http://bergen-belsen.stiftung-ng.de

https://fr.wikipedia.org/wiki/Bergen-Belsen

Buchenwald-Dora

– Amicale française Buchenwald Dora et kommandos : https://asso-buchenwald-dora.com

https://asso-buchenwald-dora.com/le-kommando-de-ganderscheim/

https://www.jewishgen.org/forgottencamps/witnesses/nickolsfr.html

https://museedelaresistanceenligne.org/media6386-Liste-de-dports-transfrs-de-Buchenwald-au kommando-de-Gandersheim

https://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_Kommandos_de_Buchenwald_Dora

– ANTELME Robert, L’espèce humaine, écrit en 1947, éd. Gallimard, coll. Tel, 1978

Edgar Morin : « Beaucoup de récits de déportés sont des récits théoriques, écrits dans une langue stéréotypée. […] L’espèce humaine était le premier, je dirai même le seul livre qui fût au niveau de l’humanité, au niveau de l’expérience nue, vécue et exprimée avec les mots les plus simples et les plus adéquats qui soient… […] pour moi le livre qui parle à ce niveau d’existence, d’expérience et dépourvu de tout sentiment de haine personnalisée, de toute mesquinerie, bien entendu de toute injustice, pour moi ça reste L’espèce humaine. »

– BLATMAN Daniel, Les Marches de la mort, La dernière étape du génocide nazi 1944-1945, éd. Fayard, 2009.

– Cercle d’étude de la Déportation et de la Shoah-Amicale d’Auschwitz, Les Marches et Trains de la mort,    juin 2016.

– DURAND Pierre, La Résistance des français à Buchenwald et à Dora, Editions sociales, 1982, réédité en 2020, éd. Delga.

– KERTÈSZ Imre, Être sans destin, Actes Sud, 1997, traduit du hongrois par Charles Zaremba et Natalia Zaremba-Huzsvai, prix Nobel de littérature en 2002.

– Mémoire vivante, bulletin de la Fondation pour la Mémoire de la Déportation, Buchenwald, n°35, oct. 2002 et Dora, n°48, déc. 2005.

– Le Serment, bulletin de l’Association Buchenwald-Dora et Kommandos : n° spécial « Cinquantenaire de la Libération », 1995 et supplément au n°379 : n° spécial pour le 75ème anniversaire 1945-2020 sous la direction de Dominique DURAND.

– LALIEU Olivier, La Zone grise ? La Résistance française à Buchenwald, préface de Jorge Semprun, éd. Taillandier, 2005.

– ORLOWSKI Dominique (sous la direction de), Buchenwald par ses témoins – Histoire du camp et ses kommandos, préface de Bertrand Herz, éd. Belin, 2014.

– THIERCELIN Jean-Pierre, De l’enfer à la lune, pièce de théâtre, éd. de l’Amandier, 2006.

– THIERY Laurent (Sous la direction de), Le livre des 9 000 déportés de France à Mittelbau-Dora, camp de concentration et d’extermination par le travail, préface d’Aurélie Filippetti, éd. Cherche Midi, 2000.

– SEMPRUN Jorge, Le grand voyage, Collection Blanche, éd. Gallimard, 1963.

– TASLITZKY Boris, Cent-onze dessins faits à Buchenwald, rassemblés par l’Association Buchenwald- Dora, éd. Hautefeuille, 1978

Buna-Monowitz

–  https://memoiresdesdeportations.org/les-camps/pologne-auschwitz-iii-monowitz

– https://fr.wikipedia.org>wiki>Monowitz-Buna

– Amis et passionnés du Père Lachaise (APPL) : https://www.appllachaise.net/monument-aux-victimes-de-buna-monowitz- auschwitz-iii/

– BERKOVER André, Matricule A165572, (en coopération avec F.Wehrbach), Société des Gens de Lettres, 2008

– BRAUN Sam, Personne ne m’aurait cru, alors je me suis tu, témoignage, entretien avec Stéphane Guinoiseau, éd. Albin Michel, Paris, 2007.

– LEVI Primo Levi, Si c’est un homme (Se questo è un uomo), traduction de Martine Schruoffenegger, éd. Pocket, 1988

– LEVI Primo, Les Naufragés et les Rescapés, (I sommersi e i salvati), éd. Gallimard, Paris, 1989

–  PALANT Charles : « Je crois au matin », éd. Le Manuscrit/Fondation pour la Mémoire de la Shoah, 2009.

– WIESEL Elie, La Nuit, témoignage, Paris, Les Éditions de Minuit, 1958.

 

Dachau

– Amicale française du camp de concentration de Dachau : https://dachau.fr/

– Amicale des Déportés Résistants du Train Fantôme, Le Train Fantôme juillet 1944 Brochure, éd. Sorgues Vaucluse, Juillet 2015.

www.appl-lachaise.net/monuments-aux-victimes-de-Dachau

– FMD Livre Mémorial : http://www.bddm.org/liv/details.php?id=I.240. (Train de la mort)

– FMD livre Mémorial : http://www.bddm.org/liv/details.php?id=I.261 (Train Fantôme)

– FNDIRP (carte de situation géographique)

– Film : Cérémonie du 3 juillet 2004 pour le 60ème anniversaire du passage du train dans la commune le 2 juillet 1944, Atelier vidéo du Foyer pour Tous de Saint-Brice-Courcelles, 2004

– Film : Les Résistants du Train Fantôme, Jorge Amat, écrit et raconté par Guy Scarpetta, 2016.

– MICHELET Edmond, Rue de la Liberté : Dachau 1943-1945, Paris, Éd. du Seuil, 1955

Flossenbürg

https://www.gedenkstaette-flossenbuerg.de

– Catalogue tiré de l’exposition : Camp de concentration de Flossenbürg 1938-1945, éd. KZ – Gedenkstäte Flossenbürg

– Association (française) des Déportés et familles de disparus du camp de concentration de Flossenbürg & Kommandos : https://asso-flossenburg.com

– Fondation de la Mémoire de la Déportation, revue Mémoire vivante, n°36, 2003

– https://fondationmemoiredeportation.com

– http://www.bddm.org/aud/camps.php?id=Flossenbürg, Hersbruck

https://en.wikipedia.org/wiki/Leitmeritz_concentration_camp

– RUBY Marcel, Le Livre de la Déportation, éd. Robert Laffont, Paris, 1995

Le convoi 73 (Kaunas et Tallinn)

– BLUM-CHERCHEVSKY Ève-Line, Nous sommes 900 Français in http://www.convoi73.org

– Bulletin de l’AFMD, Mémoire et Vigilance, n°102, oct./déc. 2023.

– Bulletin de la FNDIRP, Le Patriote Résistant, n°922, sept. 2017.

– Les Amis et passionnés du Père Lachaise : https://www.appl-lachaise.net/monument-aux-deportes-de- kaunas-et-reval-tallinn/

http://www.convoi73.org/francais/SteleLachaise/La%20stele.htm

https://mnemosyne.ee/wp-content/uploads/2020/06/Orjekh.-Intervention-Convoi-73

https://regard-est.com/estonie-la-prison-de-patarei-enjeu-memoriel-insoluble-2

https://www.yadvashem.org/fr/shoah/a-propos/debut-solution-finale/le-massacre-des-juifs-des-pays-baltes.html

Mauthausen

– Amicale française de Mauthausen : https://campmauthausen.org

– Mémorial de Mauthausen en Autriche : https://www.mauthausen-memorial.org

– DEBRISE (DREYFUS) Gilbert, Cimetières sans tombeaux, préface d’Aragon. Ed. La Bibliothèque f rançaise, 1945.

– FABREGUET, Michel, Mauthausen, camp de concentration national-socialiste en Autriche rattachée, éd. Honoré Champion, 1999

– FREUND, Florian, Ebensee-Kommando de Mauthausen. Souvenirs de rescapés, édition revue et augmentée. Amicale de Mauthausen. Paris, 2016

– LACAZE, André, Le tunnel. Ed. Julliard,1978

– LAFFITTE, Jean, Ceux qui vivent, Ed. Hier et Aujour’dhui, 1947 ; rééd. Les Editeurs français réunis, 1958.

– LEE, Adeline, Les Français à Mauthausen-Par-delà la foule de leurs noms, éd. Tallandier, Paris, 2021

– SCHWANNINGER, Florian, Le château de Hartheim et le « Traitement spécial 14f13 », Revue d’Histoire de la Shoah, 2013/2 (N° 199)

– TESSIER, Christian et DEDET, Daphné, Du Loibl Pass à la brigade Liberté, éd. La clé du chemin, 2015

– TILLARD, Paul, Le pain des temps maudits, éd. Julliard, 1965

– Zeitgeschichte Museum Ebensee- Camp de concentration d’Ebensee. Catalogue d’exposition 1999

http://www.melk-memorial.org

http://www.schloss-hartheim.at/

https://memorial-ebensee.at/website/index.php/fr/memorial-fr

http://jsegalavienne.wordpress.com/2010/11/12/un-film-qui-en-dit-long/

https://collections.ushmm.org : DÜRR Christian, Lechner Ralf, Wolfinger Stefan, Camp de concentration de Gusen 1939-1945, Traces-Fragments-Reconstruction, éd. KZ- Gedenkstätte Gusen,1967

https://afmd.org/en/loibl-pass-9379html

http://www.danube-culture.org/le-chateau-de-hartheim-bei-alkoven-centre-deuthanasie/

https://www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr/fr/article.php?larub=470

https://www.gusen-memorial.org/fr

https://www.cairn.info/revue-d-histoire-de-la-shoah

https://fr.wikiital.com/wiki/Campo_di_concentramento_di_Ebensee

 

Monument aux enfants juifs

https://www.appl-lachaise.net/monument-aux-enfants-juifs-assassines-par-les-nazis/

https://encyclopedia.ushmm.org/content/fr/article/plight-of-jewish-children

https://encyclopedia.ushmm.org/content/fr/article/kindertransport-1938-40

https://enfantscaches.wordpress.com/

https://www.memorialdelashoah.org/la-maison-dizieu.html

http://www.memorialdelashoah.org/upload/minisites/enfantscaches/

https://www.musee-memorial-cercil.fr/

https://www.yadvashem.org/yv/fr/expositions/maisons-denfants/chabannes/index.asp

https://fr.wikipedia.org/wiki/Enfant_cach%C3%A9

– ANQUETIL Frédéric, Annette Monod, L’ange du Vel d’Hiv, de Drancy et des camps du Loiret, éd. Ampelos, 2018.

– BERRI Claude, Le Vieil Homme et l’Enfant, film, 1967.

– CHRISTOPHE Francine, Une petite fille privilégiéeUne enfant dans le monde des camps 1942-1945, éd. L’Harmattan, 1996 ; rééd. Pocket 2001.

– CLING Daniel, Adélaïde H, une résistante alsacienne, film sur Adélaïde Hautval, 2021.

– Fondation pour la Mémoire de la Déportation, Mémoire Vivante, n° 57 : Les enfants et les adolescents dans le système concentrationnaire nazi (sujet du Concours National de la Résistance et de la Déportation, 2008/2009.

– GAREL Georges, avec la participation de Katy HAZAN, Le sauvetage des enfants juifs par l’OSE, éd. Le Manuscrit, coll. « Témoignages de la Shoah », 2012.

– GOSSELS Lisa et WETHERELL, Les enfants de Chavannes, film, 1999.

– MALLE Louis, Au revoir les enfants, film, 1987.

– ZAJDE Nathalie, Les enfants cachés en France, éd. Odile Jacob, Paris, 2012.

Monument aux Espagnols

– Amicale de Mauthausen (France) : https://campmauthausen.org

– Association du 24 août 1944 – La Nueve : https://www.24-aout-1944.org

– BERMEJO Benito, Le photographe de Mauthausen – L’histoire de Francisco Boix et des photos dérobées aux SS, éd. Territoires de la Mémoire, coll. Points d’encrage, Liège, 2016

CONSTANTIN Mario et RAZOLA Manuel, Triangle bleu : Les Républicains espagnols à Mathausen, éd. Le Félin, 2002

– GUERRERO MORENO Rafael, Rotspanier, les esclaves espagnols du nazisme, documentaire, 2023

– MONTSERRAT Roig, Les Catalans dans les camps nazis, Ed. Triangle bleu, 2005

– OLIVARES Véronique et SALOU Pierre, préface de Michel REYNAUD, éd Tirésias, 2015

https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/pas-la-peine-de-crier/triangle-4-5-l-histoire-des-triangles-bleus-1524110

Natzweiler-Struthof

Amicale nationale des déportés et familles de disparus de Natzweiler-Struthof et de ses kommandos : https://amicalenatzweilerstruthof.fr/

Amicale nationale des déportés et familles de disparus de Natzweiler-Struthof et de ses kommandos : « Natzweiler-Struthof, l’Histoire et ses témoins », Éditions Tirésias-Michel Reynaud

– Amis et Passionnés du Père Lachaise (APPL) :

https://www.appl-lachaise.net/monument-aux-victimes-de-nacht-und-nebel/

– Association Mine de Rien : La voix du rêve, film-DVD, Amiens, 2020

– Bulletin de l’AFMD « Mémoire et Vigilance » : n° 35 – 77 – 91 – 96 – 98

– Bulletin de la Fondation pour la Mémoire de la Déportation (FMD) « Mémoire vivante » : n°44

– Camp annexe du Fort de Queuleu (Metz) : http://www.fort-queuleu.com

– Centre européen du Résistant déporté : https://www.struthof.fr

– D’ANDLEU Guillaume, Le KL Natzweiler-Struthof. Un camp de concentration en Alsace annexée ,  I.D. l’Édition, 2023

– KERSHAW Ian, La Fin. Allemagne 1944-1945, Paris, Le Seuil, 2012.

– Journal « Le Monde », article : « Struthof : L’Université de Strasbourg confrontée à son passé », du 5 mai 2022

– PAHOR Boris, LUCK-GAYE Andrée, Pèlerin parmi les ombres, éd. La Table ronde, 1996.

– Revue « En Jeu » de la FMD : Histoire et Mémoires vivantes : Nouvelles recherches sur les déportations et les camps (décembre 2017 n°10) Chez Septentrion Presses Universitaires

– STEEGMANN Robert, Struthof. Le KL-Natzweiler et ses kommandos : une nébuleuse concentrationnaire des deux côtés du Rhin, 1941-1945, éd. La Nuée bleue, 2005.

– Tunnel d’Urbès (Haut-Rhin) : https://letunneldurbes.wixsite.com

– Verbunds der Gedenkstätten im ehemaligen KZ-Komplex Natzweiler e.V.(VGKN) : http://vgkn.eu/de/startseite/ En Allemagne, le VGKN est l’association regroupant les lieux avec monuments commémoratifs et mémoriaux érigés sur les différents sites annexes relevant de l’ancien complexe concentrationnaire de Natzweiler.

Neuengamme

Amicale française de Neuengamme : https://www.campneuengamme.org

– Amis de la Fondation pour la Mémoire de la Déportation (AFMD) :

Revues Mémoire et Vigilance n°90 Janvier-mars 2020 et n°92 Juillet-septembre 2021

– Fondation pour la Mémoire de la Déportation (FMD) :

Revues Mémoire Vivante, dossiers Neuengamme 2003 et Aurigny-Alderney 2009

https://fr.wikipedia.org/wiki/Camps_d%27Aurigny

http://www.kinder-vom-bullenhuser-damm.de/

www.kz-gedenkstaette-neuengamme.de

www.kz-gedenkstaette-in-hamburg.de

Oranienburg-Sachsenhausen

– https://www.souviens-toi.org

– Amicale d’Oranienburg-Sachsenhausen, « SACHSO », éd. Minuit/Plon, 2003

– Amicale française d’Oranienburg-Sachsenhausen : http://www.campsachsenhausen.org/

– FMD Livre Mémorial : http://www.bddm.org/liv/details.php?id=I281 (Train de Loos)

– Le Maner Yves, Le « Train de Loos ». Le grand drame de la déportation dans le Nord-Pas-de-Calais, éd. La Coupole, 2003

– Mémorial du camp de Sachsenhausen en Allemagne : https://www.sachsenhausen-sbg.de/en/

– Morsch Günter & Ley Astrid, Le camp de concentration de SACHSENHAUSEN 1936-1945 Chronologie et évolution, éd. Metropol, 2013.

http://sachsenhausen-rapport.over-blog.com/pages/La_marche_de_la_mort_et_le_bois_de_Below- 515475.html

– Film : Les Faussaires (Die Fälscher), de Stefan Ruzowitzky, 2007, tiré du livre autobiographique « L’atelier du diable » d’Adolf Burger. Oscar du meilleur film en langue étrangère.

 

Ravensbrück

– Amicale de Ravensbrück et Association des Déportées et Internées de la Résistance,

 Les Françaises à Ravensbrück, Paris, Gallimard, 1965

– TILLION Germaine, Ravensbrück, éd. du Seuil, 1973

– Amicale de Ravensbrück et des commandos dépendants, Revivre et construire demain, Paris, 1994

– CHOMBART de LAUWE, Marie-José, Toute une vie de résistance, éd. Graphein/FNDIRP, 1998

Fondation pour la Mémoire de la Déportation, « Mémoire Vivante », n°97 : Ravensbrück.

– Internationales Ravensbrück Komitee : https://irk-cir.org

– Mémorial de Ravensbrück, Allemagne : https://www.ravensbrueck-sbg.de/en/

https://encyclopedia.ushmm.org/content/fr/article/ravensbrueck

 

Rawa-Ruska

Association « Ceux de Rawa-Ruska », Le camp de représailles des militaires évadés résistants, RAWA- RUSKA, Camp 325 en Ukraine 1942-1944, brochure

– Association « Ceux de Rawa-Ruska », revue EnVols, n°29

https://rawa-ruska-union-nationale.fr/

https://fr.wikipedia.org/wiki/Rava-Rouska

https://www.appl-lachaise.net/monument-aux-prisonniers-de-rawa-ruska/

Délégation de Paris des Amis de la Fondation
pour la Mémoire de la Déportation
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Contact : afmd.dt75@gmail.com
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